La découverte du monde horticole, c’est aussi mieux connaître les plantes et leur développement, mieux connaître leur histoire, celle de leur introduction, de leurs migrations, de leur diversification et de leur utilisation, enfin c’est suivre, en toute simplicité, les avancées de la science végétale.
Originaire d’Extrême-Orient, le camellia est une plante symbolique dans de nombreux pays d’Asie. Introduit en France à la fin du XVIIIe siècle, il a séduit non seulement les jardiniers, mais aussi les artistes et les élégantes. Il est aujourd’hui la vedette de nombreux jardins.
En langue celte, son nom signifie «guérit tout », entre autres, l’épilepsie et l’hypertension. Selon des recherches récentes, le gui agirait même sur le système immunitaire. Entre légende et réalité, Christine Barbace vous propose de faire le tour de cette boule végétale porte-bonheur.
L’apomixie : un mode de reproduction plus courant qu’il n’y paraît
Dans le monde animal comme dans le monde végétal, l’essentiel est de vivre et de se reproduire. Les plantes disposent d’un arsenal de solutions pour perpétuer l’espèce. Parmi eux, l’apomixie.
Fabriquer des sols fertiles à partir de déchets : c’est possible !
On pense souvent au sol comme à un élément nourricier et naturel. Mais l’artificialisation galopante des terres, due aux activités humaines, nous fait oublier qu’il demeure une valeur qu’il nous faut protéger. Des pistes de réflexion existent.
La collection de fougères du Jardin botanique de Lyon
Les fougères constituent l’une des collections majeures du Jardin botanique de Lyon avec 544 accessions, dont 156 font partie de la flore française ou d’Europe occidentale. Cette collection propose quelques espèces remarquables et rares. Elle constitue, notamment, un outil éducatif pour les étudiants.
Canneberge, cranberry, atoca ou popokwa, telle est la question !
À la mode parce qu’elle fait partie des « super-aliments » riches en énergie, vitamines et autres minéraux, la canneberge est une baie majoritairement produite en Amérique du Nord. Lors du voyage organisé par la SNHF au Canada, en septembre 2017, des membres ont pu visiter une cannebergière au Québec.
C’est au XVIIIe siècle que le chimiste anglais Stephen Hales affirme que l'air et la lumière contribuent à la croissance des plantes. Son contemporain Joseph Priestley met en évidence le rejet d’oxygène par les plantes. On peut donc dire que les deux hommes ont posé les bases de la photosynthèse. La chlorophylle, pour sa part, sera isolée en 1816 par deux Français : Joseph Bienaimé Caventou et Joseph Pelletier. Où la recherche sur la photosynthèse en est-elle aujourd’hui ?
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